Les chasseurs s'étaient aventuré bien loin, il touchait presque que le coeur de la forêt. Je ressentais beaucoup de peine. Midona les avaient attiré et maintenant elles s'amusaient avec eux en les faisant sursauter, tirer des flèches dans le vide, et leur mettait le trouillaumètre à zéro. Bien sur Midona n'était pas cruel avec tout le monde, mais ses hommes étaient des braconniers de la cité d'Estora. Nous les avions prévenu qu'ils ne devaient plus jamais remettre les pieds ici. Nous avions été dépêché par le prince pour nous assurer qu'ils reviendraient. J'avais entouré cette partie de forêt de piège et y avait placé des odeurs de charogne pour que ceux qui se réveillent-la-nuit errent au abord de la forêt tout en ne les laissant pas attaqué la ville. C'était une tache bien ingrate d'après les autres. Je m'en fichais. Les braconniers causaient des dommages irréparables au arbres, au animaux et à la terre elle même. J'avais une grande tendresse pour ces êtres animales qui malheureusement ne pouvaient pas toujours se défendre contre la fureur destructrice des hommes. J'avais reçu l'ordre de tué. Il y a peu de temps. J'avais cru d'abord que le prince était fatigué de toute cette mascarade visant à protéger la forêt. Mais non. Pour une raison qui m'étais encore inconnu, il souhaitait tout simplement renforcer les légendes de carnages qui hantaient déjà l'esprit de ceux qui habitait à proximité.
Il étaient juste en dessous de moi. La traque commença. Pour être le plus discret possible je m'étais caché sur une branche en position accroupis dans l'ombre d'une branche plus haute. Maintenant ! Midona se joint à moi. Nous ne fîmes plus qu'un. Ma vision s'adapta a celle de mon amie. Tout prit une teinte sombre. Puis des taches rouges me signifièrent que des être au sang chaud étaient en train de bouger. Des taches bleu apparurent pour me signifier les objet sans vie. Les arbres eux apparurent orange, voir jaunes. Je me laissais tombé en arrière et me retins seulement à une seule main. Comme un singe. Je soufflait et l'air devint plus froid. Les hommes grelotaient à présent. Ils n'étaient vraiment pas rassuré. La tache de couleur rouge devint de plus en plus fonçé pour tous, sauf pour un. Un seul arrivait a garder son calme.
C'est un bon entrainement, tu ne trouve pas.
La voix de Midona me chuchota ses paroles.
Je n'aime pas trop l'idée de les tuer, j'aurais été enchanté de seulement les traquer pour faire courir des rumeurs sur une créature terrifiante et extrêmement agile qui roderait dan les bois.
Je vois... ta conscience est toujours un gros problème. Comment veux-tu que nous devenions les créateurs du nouveau monde si tu n'aime pas tuer ? Les hommes essaieront de t'empêcher d'avancer car ils auront peur ! Les hommes ont peur de ce qu'ils ne comprennent pas. C'est toujours comme ça avec ton espèce.
Fait simplement ce que tu dois faire. Nous ne sommes pas là pour discuter philosophie.
Bien !
Elle semblait en colère. Mais elle fit taire ma conscience. Je n'avais maintenant plus aucun problème pour tuer ses braconniers. L'un d'eux était en retard sur le groupe car il avait fait tomber son carquois de flèche. Il devenait une proie facile. Je relâchais ma prise sur l'arbre et lui tomba dessus. 5 aiguilles de glace lui transpercèrent la nuque. Ces aiguilles avaient poussé à la pointe de mes doigts. Sans un bruit je lui étais tombé dessus. Sans un bruit il était mort, et ce fut sans un bruit que le l'emportais derrière un arbre. Je remontais parmi les branches. Ma prochaine cible serait le dernier de la file. C'était plus risqué car il était tout proche de celui qui le précédait. Mais ce qui était à mon avantage c'est qu'ils avancés dans le silence le plus complet, sans se parler, sans presque respirer. Ce n'avait tout de même pas empêché le meurtre de leur camarade dans la plus total discrétion. Il était faible. Posant ma main sur l'arbre le rassembla toute l'eau de cette arbre et la concentra a la base du tronc. Le bois craqua. Tous se retournèrent pour fixer le tronc fautif.
Où est Sirian ?
C'était la tache la plus clair qui venait de parler. Le plus calme. Le chef. Ils sortirent leur épée. Merde. Je n'allais plus pouvoir les tuer en toute tranquillité maintenant. Il me faillais les avoir tous en même temps. Je passa une main devant mon visage. Un masque froid me recouvrit le visage. Nu et simple, c'était un simple ovale de glace poli, cachant entièrement mon visage. Je souris et d'un coup, des fouet de glace éclatèrent l'écorce de l'arbre et embrochèrent tous les membres de l'expédition. Sauf un. Le chef. Qui au dernier moment avait levé les yeux vers moi. Nos regard s'étaient croisé et il s'était jeté au sol évitant le fouet de très peu. Il sera son épée dans sa main et s'enfuit laissant là ses compagnons. Il espérais me semer mais mon regard traversait la matière suivant ses taches rouge de loin. Je me mis debout et frappa l'air devant moi. Un fouet de glace traversa les airs et au moment où il allait se planté dans le dos du guerrier, ce dernier bougea et mon fouet rata sa cible. Je recommencais plusieurs fois cette technique, exécutant des mouvements avec le fouet toujours plus compliqué et plus vif. Mais à chaque fois le même résultat. J'aimais ça. Un sourire s'épanouit sous mon masque de glace. Je courrais, exécutant encore les technique avec mon fouet de glace. Je me rapprochais. Je bondis. J'arrivais à voir le coin de ses yeux apeuré. Les gouttes de sueurs sur son front. Il avait peur. J'aimais ça. Un désir animal me tint le ventre et je bondis. Encore. Encore. Mon fouet le toucha une fois. deux fois. Plus je me rapprochais plus le fouet se faisait précis. Son épaule droite était en sang. Je le dépassais et me planta en face de lui. Il était terrifié. Me défiant de son épée, il hurla.
Je sais qui tu es.
D'une main j'enlevais mon masque. De l'autre je lançais une quinzaine de fouets de glace contre mon ennemie. Ses yeux s'agrandirent. Je vis mon visage souriant dans ses yeux. Puis la flamme au fond de ses deux miroirs s'éteint. Les fouets l'avaient transpercé. Tous étaient maintenant taché de sang de sang et le sol se gorgeait de cette substance rouge.
Je me tournais et après avoir retrouvé tous les corps je les lançais devant un village au abord de la forêt. Il faisait nuit. C'était très calme. Je Les regardant par terre, et fis sortir un arbre de glace gigantesque du sol. Les branches s'abaissèrent et soulevèrent les corps, les laissant suspendu au dessus du sol. Un arbres soutenant des corps. C'était mon signe. Ma marque. Je partis tranquillement. Midona sortit de mon corps et voleta à mes côté.
On peut parlé Philosophie maintenant ?
Si tu veux
Ven 24 Juil - 19:13